La difficulté à se concentrer sur des objets flous – de loin ou de près – peut signifier que vous avez besoin de lunettes.
La fatigabilité, notamment en fin de journée est un signe fréquent chez les enfants également
La difficulté à se concentrer sur des objets flous – de loin ou de près – peut signifier que vous avez besoin de lunettes.
La fatigabilité, notamment en fin de journée est un signe fréquent chez les enfants également
Une réfraction objective et subjective, de près et loin puis vous délivrera une correction optique. Cela est fait régulièrement dans le cadre de votre suivi standard.
Pour les enfants de plus de 6 ans et jusqu’au 50 ans, des protocoles sont mis en place au sein du cabinet et avec des orthoptistes salariés et collaborateurs. Les réfractions pour cette tranche d’âge, à condition qu’aucune pathologie nécessitant un suivi spécifique ne soit présente et qu’une consultation chez un ophtalmologue ait eu lieu dans les cinq dernières années, sont réalisées dans le cadre d’un protocole délégué. Après validation par un médecin du cabinet, l’ordonnance vous est rapidement envoyée via un système de messagerie sécurisé.
Cela vous permet de bénéficier d’un rendez vous plus rapide pour le renouvellement de vos lunettes. Attention, il ne s’agit pas d’une consultation médicale !
Il existe différentes solutions optiques pour répondre aux besoins spécifiques de chaque trouble visuel :
Les verres unifocaux (ou « simple foyer ») possèdent la même puissance de correction sur l’ensemble de leur surface.
Ils permettent la vision nette à une distance précise :
Ils peuvent corriger tout type d’amétropie : hypermétropie, myopie et astigmatisme.
Ces verres sont :
Le port de lunettes « loupes », que l’on trouve en pharmacie ou dans les supermarchés, est possible pour soulager les difficultés en vision de près, à l’âge de la presbytie. Malgré tout, ces lunettes ne sont pas parfaitement adaptées à votre amétropie, à votre écart inter-pupillaire et génèrent, à long terme, un inconfort ou la survenue de maux de tête.
Mieux vaut donc, si le port se prolonge, consulter votre ophtalmologiste pour obtenir une prescription adaptée.
Ces verres sont de moins en moins utilisés. Ils permettent une vision de loin et une vision de près, grâce à deux zones de correction séparées dans le verre.
Il n’y a, par contre, pas de vision intermédiaire et ils sont réputés moins esthétiques que les verres progressifs.
Ils sont capables de corriger plusieurs anomalies réfractives et permettent, ainsi, une vision nette à différentes distances. Cela est utile pour les patients presbytes ou les patients opérés de cataracte.
Un verre progressif se compose de 4 zones distinctes :
Les verres progressifs sont plutôt déconseillés chez les patients atteints d’une pathologie sévère de la vision centrale (comme une DMLA avancée) ou pour les patients ayant d’importantes difficultés de convergence binoculaire. Pour ce type de cas, mieux vaut, en règle générale, privilégier le port de deux paires de lunettes (l’une pour la vision de loin, l’autre pour la vision de près).
Ce sont des verres multifocaux, qui corrigent la vision de près et offrent une profondeur de champ suffisante pour garantir le confort en vision intermédiaire. Ils ne corrigent pas la vision longue distance.
Ils constituent un choix intéressant pour le jeune presbyte, ou pour certaines activités, comme le travail sur ordinateur.
Si votre choix s’oriente vers ce type de correction, votre ophtalmologiste et votre opticien auront besoin d’informations précises sur vos activités : la distance entre vos yeux et votre ordinateur par exemple.